Année 2011-2012

Pour la partie officielle, sont intervenus Nicole Aquilon, présidente de HR Neuchâtel, Urs Burgunder, président de HR Swiss et Thierry Grosjean, Conseiller d'Etat en charge de l'économie.

La soirée, animée par la troupe théâtrale du Caméléon, s'est poursuivie par un repas servi par l'Hôtel de Commune de Dombresson. Les décors ont été créés par LOOHX.

La video de la conférence de Jean-Michel Besnier est à disposition par les liens ci-dessous, pour des raisons techniques elle a du être segmentée en 4 parties :

• Partie 1 : L'évolution actuelle de l'humanité amène chaque être humain à se centrer sur lui-même et sur le présent. Les "valeurs" tendent à devenir anecdotiques et relatives.
• Partie 2 : L'homme augmenté se débarrasse de la naissance, de la souffrance, de la vieillesse et de la mort. Il perd ainsi le désir et la complexité.
• Partie 3 : Le développement des technologies rend possibles les théories transhumanistes et la fusion de l'homme et de la machine.
• Partie 4 : Les signes d'un renouveau apparaissent dans la nécessité d'accueillir une nouvelle humanité et d'affronter des événements inattendus (écologie, économie et politique) qui ébranlent la croyance dans le progrès.

Ce dernier point n'a pas trouvé grâce auprès du parlement fédéral et a été détaché du projet précité. Il s'est transformé en un financement additionnel par une augmentation de la TVA limitée dans le temps (2011-2017) couplé à une 6ème révision LAI prévue en deux volets. Le premier volet renforcera la réadaptation professionnelle en instaurant le principe de "la réadaptation après la rente" et le deuxième volet vise à éliminer les effets de seuil en lissant les taux de rente et les calquant sur le degré d'incapacité de gain fixé.

Espace Gilbert Facchinetti de la Maladière, Neuchâtel, le jeudi 26 janvier 2012, 18h 00.

A l'heure actuelle et pour les années à venir, les modèles de management d'équipes doivent intégrer les contraintes de la santé et du bien-être pour résister davantage aux impératifs économiques, toujours plus élevés. Au fil de ses expériences, l'ISMAT constate que les programmes traditionnels de conduite des collaborateurs ne répondent que partiellement à cette préoccupation. Il est désormais avéré que des mesures ciblées, répondant aux attentes principales des dirigeants sur les questions de dynamiques de groupe, d'absentéisme et de santé au travail, sont plus efficaces pour augmenter la rentabilité.

Les entreprises qui misent sur ce modèle favorisent la liberté, l'autonomie d'organisation, l'estime de soi et la confiance des collaborateurs. Les principes de la délégation de responsabilité, de l'encouragement à la formation et au développement des compétences, prennent un tout autre sens au moment où les indicateurs de climat social sont en place.

Travailler plus intensément tout en augmentant la qualité de vie est un défi qui peut être relevé.

Vincent Blanc est formateur et consultant en management, actif depuis près de 15 ans dans les entreprises et les centres de formation. Il conduit des programmes de management, pilote des projets dans plusieurs organisations publiques et privées, et met au point des méthodes simples de gestion des ressources humaines sur les problèmes les plus brûlants que rencontrent actuellement les dirigeants.

Passionné par l'organisation d'entreprise et la gestion des équipes, ses programmes de management d'absentéisme sont appliqués depuis de nombreuses années dans les plus grandes organisations et font régulièrement l'objet d'articles ou de conférences. Ils sont appréciés pour leur logique et la simplicité de leur mise en oeuvre, la valorisation des individus et l'amélioration de l'encadrement quotidien.

Ses thèmes d'intervention sont la motivation, le climat social, le management des équipes, la délégation et le recrutement. A ce jour, il comptabilise plus de 1500 journées de formation et quelques 15'000 personnes ont participé à ses séminaires.

Espace G. Facchinetti de la Maladière, Neuchâtel, le mardi 22 novembre 2011, 18h 00.

"De leur côté, les entreprises sont devenues plus susceptibles et réagissent davantage quand elles se font piquer des salariés. Elles engagent une action pour montrer au marché qu'elles ne se laissent pas faire et éviter que leurs concurrents ne se servent impunément dans leur stock de main-d'oeuvre.

"Quelle est la limite légale entre les comportements autorisés et ceux qui ne le sont pas ? Quels sont les risques spécifiques engendrés par les réseaux sociaux et les remèdes possibles pour l'entreprise ? Qu'en est-il de la validité et de l'efficacité des clauses de prohibition de concurrence ?"

Charles Joye a obtenu son brevet d'avocat et développé sa pratique dans deux importantes études de droit des affaires du canton de Vaud. Il y a acquis une expérience de plus de dix ans en matière de litige et conseillé de nombreuses entreprises. Il s'est spécialisé dans le droit de la concurrence déloyale et de la propriété intellectuelle, ainsi qu'en droit des contrats et de la responsabilité civile.

Espace Gilbert Facchinetti de la Maladière, Neuchâtel, le mardi 25 octobre 2011, 18h 00.